jeudi 10 octobre 2019

Fier.e.s de notre CASC !


Pour la défense et le développement des activités culturelles et du tourisme social et solidaire en faveur des personnels de la Mairie de Nanterre

Le personnel communal de notre ville et ses retraité.e.s bénéficient d’activités sociales et culturelles importantes et de qualité  gérées directement par leurs représentant.e.s élu.e.s démocratiquement.

Cette dynamique, qui fait de notre CASC l’un des plus enviés et des plus importants d’Ile de France, est le fruit de l’action de la  CGT, de la gestion juste, démocratique  et rigoureuse de ses élu.e.s. Près de 3000 agents titulaires, contractuel.le.s, à temps complet ou partiel et 250 retraité.e.s y ont accès.

L’adhésion du CASC à UNAAS-CT (l’Union Nationale des Associations pour l’Activité Sociale dans les  collectivités territoriales) a renforcé le poids et les moyens du comité. Le personnel a bénéficié des avantages d’un réseau national représentant plusieurs dizaines de milliers de  fonctionnaires et les élu.e.s ont pu être formé.e.s.

Cet engagement quotidien et cette détermination résolue de vos représentant.e.s CGT pour moderniser notre CASC ont permis d’élargir l’accès aux activités pour tou.te.s celles et ceux qui en étaient exclu.e.s tout en maintenant  le niveau de financement de notre employeur.

La CGT et ses élu.e.s réclament auprès de la collectivité un financement du CASC calculé sur la totalité de la masse salariale. Tou.te.s les agent.e.s et salarié.e.s de la ville devraient pouvoir  bénéficier du CASC  quelque soit leur statut, et leur cadre d’emploi. 

La CGT réclame aussi que tou.te.s les agents aient accès aux chèques vacances et demande que la participation de la ville soit pleine et entière et cesse d’être compensée par le budget du CASC.

Depuis plusieurs mois nous alertons sur les effets désastreux  qu’ont les réductions des moyens financiers sur les collectivités locales et leurs agents. Notre CASC est la prochaine cible d’économies visée par la ville et les élus de l’opposition au conseil municipal qui réclament une diminution de ses ressources.

L’employeur, à contrario des comités d’entreprise, n’a pas d’obligation de moyens vis-à-vis du CASC. Il pourrait le supprimer à sa convenance. C’est pour cela que la CGT revendique avec l’UNAAS-CT que les CASC et COS soient reconnus et rendus obligatoires dans le statut de la fonction publique territoriale. Cela garantira l’indépendance des choix de gestion par rapport à l’employeur, l’obligation de financement des activités et l’égalité d’accès et de traitement pour tou.te.s les fonctionnaires quelle que soit la taille de leur collectivité.

Pour garantir vos droits aux activités sociales et culturelles, aux départs en vacances et à la gestion démocratique de votre CASC  
 Vous pouvez vraiment compter 
sur la CGT et ses élu.e.s.